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Le cocufieur : s'il est d'accord pour le faire devant mon mari

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Après ma rééducation du genou, j'avais gardé l'habitude d'aller nager une fois par semaine. C'était une piscine sobre, tout juste rénovée et mais qui n'attirait pas les foules. J'y voyais presque toujours les mêmes visages. Un soir, j'ai remarqué une femme entraînée, légèrement plus mature que les autres, mais plutôt athlétique, avec un corps très bien entretenu. Il me fallait trouver un moyen d'engager la conversation.

Après quelques longueurs, j'ai profité d'un moment de récup pour lui parler. Ne l'avais-je pas vue à un cours de yoga ? Je savais pertinemment que cela ne pouvait pas être le cas, puisque je ne fais pas de yoga. Le courant est passé : peu de temps après, nous nous tutoyons et je l'appelais déjà Rosi (en fait Rosemarie).


Nous avons parlé de tout et de rien et le temps a passé. Au cours de la conversation, elle m'a dit que son mari était resté à la maison. Il serait légèrement handicapé et dépendant de son aide. C'est justement à ce moment qu'elle a dit qu'elle devait y aller. Une technique, pensais-je, pour éviter d'aller plus en profondeur et pour s'extirper de mes filets de dragueur. Il n'en était rien. Elle m'a donné rendez-vous pour nager la semaine suivante.

Tout au long de la semaine, j'ai pensé aux mots de Rosi. Je revoyais cette femme vigoureuse et avais de la peine en l'imaginant privée de ce que tout mari en bonne santé pourrait lui offrir. Elle semblait si femme, sentait le désir à plein nez, je n'avais pas le droit de ne pas essayer de lui donner le plaisir qu'elle méritait. Tout cela se jouait surtout dans ma tête, je le concède. 

La semaine suivante, j'ai rassemblé mon courage, bien aidé par l'ouverture de Rosi qui semblait prête à se livrer.

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Cocufier un mari candauliste : « Avec un préservatif et sans bisous »

"Dis, Rosi, comment ça se passe entre toi et ton mari ? Tu es une femme très séduisante."

"Je t'arrête tout de suite, ça ne te regarde pas ! Mais comme je t'aime bien, oui, de temps en temps je cueille dans d'autres jardins. Mais ce n'est pas comme tu peux le croire : cela ne dérange pas mon mari. Il veut me voir épanouie, c'est son bonheur à lui, et il préfère le savoir."

" Et comment fais-tu pour t'épanouir ? "

" Je choisis quelqu'un comme toi, par exemple, et l'invite chez moi, s'il est d'accord pour le faire devant mon mari. Là nous le faisons sous ses yeux, mais avec un préservatif et sans bisous. Il insiste pour qu'il n'y est pas de bisous ",

"Alors tu penses que je suis un bon candidat ?"

 "Oui"

"Ne perdons pas de temps !" ai-je dit.

"Chérie, regarde, j'ai apporté quelqu'un de la piscine. Le gentil jeune homme dont je t'avais parlé la semaine dernière."

Elle avait donc parlé de moi à son mari. C'est bon pour l'estime ! 

Rosi n'est pas du genre à passer par quatre chemins, elle va droit au but et m'a donc convié à la suivre dans la grande chambre, où se trouvait un lit hospitalisé à proximité d'un lit double. Malgré cette ambiance hospitalière, cette chambre avait quelque chose d'érotique. Rosi a installé son mari taciturne dans un fauteuil, puis s'est déshabillée très vite. Son corps impeccable, légèrement bronzé par le soleil, avec une poitrine ferme, des mamelons énormes, une légère chevelure pubienne laissée sous forme de buisson et un clitoris gonflé et effronté.

« A quatre pattes, le regard dirigé vers son mari »

Elle se mordillait les lèvres en me dévorant du regard. Je ne pouvais pas me retenir, alors j'ai rapidement enlevé mon jean, ma chemise, mes sous-vêtements et mes chaussettes. J'ai réalisé à quel point j'étais en manque de sexe ces derniers temps. Son buisson frottait sur ma queue, ses mains caressaient mes fesses. Par réflexe, j'ai essayé de l'embrasser, mais elle a détourné la tête. Mes lèvres se sont égarées jusqu'à sa poitrine glorieuse, caressèrent d’abord le mamelon gauche, puis le droit, que je suçai et mordillai, jusqu’à ce qu’elle commence à gémir. Mes lèvres se sont déplacées vers son nombril. Puis a continué à errer vers le saint des saints. J'ai léché son clitoris, gobé ses lèvres. Elle gémit, elle était mouillée.

"Je veux ta bite maintenant"

Je voulais la jeter sur le lit et la prendre dans la position du missionnaire. 

"D'abord le préservatif !" Elle m'a montré la commode du doigt. J'y ai trouvé un préservatif que j'ai enfilé dans l'urgence du désir. Elle se mit à quatre pattes, le regard dirigé vers son mari. Je l'ai alors escaladée par l'arrière et ai enfourné sa chatte. Son mari s'approcha d'elle dans son fauteuil roulant et lui tâtonna les seins. 

Son mari semblait appréciait notre performance. Rosi voulait vraiment sentir ma bite dans son cul. "Change de préservatif". Je me suis exécuté et je l'ai baisée comme un malade jusqu'á ce que je jouisse. Rosi était satisfaite. Son mari aussi. Je devais rentrer chez moi et recharger les batteries pour la semaine suivante...
 

1 commentaire

scorpion_13
Le 28 mars 2019
jolie récit, oui devant le mari bien sur, qu'il en profite également. Il peut prendre beaucoup de plaisir en voyant son épouse en osmose avec son amant. respect du couple, pas de soucis, j'adore.
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