Le blog de de la rencontre candauliste

Milena est une très gentille fille qui pourtant être bien salope comme il faut et qui prend plaisir à poser pour moi et les autres. Comme je l’ai suggéré la semaine dernière, les séances photos font régulièrement partie de nos jeux sexuels. Milena n'avait avant l’accomplissement de notre fantasme jamais posé pour des photos érotiques. Elle se sent mise en valeur, elle apprécie que je la trouve irrésistible et que je veuille prodiguer sa beauté au monde. Ça lui fait chaud de savoir que plus tard, quand elle ne pourra pas être avec moi en personne, je me caresserai sur ces images.

Ma propre excitation lors des séances de photo est très pressante. C'est tellement dur de résister, de ne pas laisser tomber l’appareil et de lui faire l’amour telle quelle, directement sur le sol, salement, sauvagement. En fait, la tension est trop dure, alors pour ne pas succomber complètement à la tentation, je sors ma queue, la touche pendant que je me déplace dans la pièce pour prendre des photos alors qu'elle se cambre devant l’objectif. C'est comme si elle me faisait l'amour à travers l'objectif de l’appareil photo. Elle sait à quoi sont destinées les photos, cela se voit et ajoute à l’excitation : elle devient un objet de désir pour des hommes, peut-être aussi des femmes, mais avant tout pour des inconnus qui ne la jugeront pas, qui ne feront que l’admirer et tirer du plaisir de la contemplation.

Séance photo candauliste : « L'odeur enivrante de ses fluides génitaux »

Son désir invisible mais électrique emplit l’air de la pièce, il dégouline entre ses jambes comme la sueur sur mon front. Même maintenant où je pose ce souvenir noir sur blanc, je peux évoquer même l'odeur enivrante de ses fluides génitaux. Je sens la traction magnétique de son entrejambe attirer inéluctablement ma barre d’acier. Son jardin érotique me fait signe, il est si humide, dense et invitant.

J'ai aussi d'autres pensées plus vilaines que l'on nous dit qu'un homme ne devrait pas avoir à propos de sa femme. Ce sont des pensées qu'une femme dirait en public ne pas soutenir, ne pas tolérer, mais dans l’intimité du couple, elle les souscrirait avec du désir plein le corps. Nous savons tous les deux que le meilleur de ces images apparaîtra sous forme de galerie sur notre blog. La pensée d'autres hommes regardant des photos de Milena et fantasmant sur ce que ça ferait de la baiser est une énorme excitation. Pour nous deux.

Plaisir exhibitionniste et candaulisme : « Elle a posé et présenté ses courbes »

Elle commence à embrasser ses désirs exhibitionnistes alors je lui demande de donner à ces hommes quelque chose à aimer. Milena écarte largement les jambes devant la caméra pour que d'autres hommes puissent bien regarder son intimité. Elle connaît son public et veut le combler, mais elle n’en oublie pas le principal : nous deux. Et de dire dans un élan de sincérité en regardant l’objectif comme pour dire à tout monde :

« Je meurs d'envie de toi ! Je suis tellement amoureuse de toi, je veux être avec toi, que tu me prennes dans tes bras ! J'ai hâte de te voir, de te sentir, d’être avec toi, d’engloutir ton sexe. Et en même temps j'adore que tu penses à d'autres hommes qui fantasment sur moi, qui me veulent rien que pour le moment. Mais mon véritable accomplissement et mon seul besoin, c’est toi, mon seul véritable amour. »

Bien sûr, je possède sa chatte et son cul et je déciderai finalement du plaisir qu’elle recevra avec un autre. Notre relation de domination et de soumission est part entière de nos jeux érotiques. A présent, elle a posé et présenté ses courbes, exposé son cul, envoyé une invitation à la contempler, à la désirer, à la baiser.

C'est une chance pour laquelle je remercie ma bonne étoile chaque jour. Bien sûr, je suis un homme insatiable donc je prendrai les deux : la jouissance de la partager avec les autres et celle de lui faire l’amour. En fin de compte, un homme ne peut résister qu'à tant de tentations et le chant de ma sirène est trop fascinant pour que je le laisse s’évaporer dans l’air.

Bien vite ses talons hauts se plantent dans mes cuisses alors que je pousse ma queue palpitante et dégoulinante au fond de sa porte d’entrée, puis de celle de derrière, dans l’espace interdit, là où seul moi ai le droit de pénétrer…