Le blog de de la rencontre candauliste

Chez Benjamin l’envie de me partager avec un autre n’a cessé de croître ces derniers mois. Je suppose que cela a commencé quand nous avons regardé ce porno mettant en scène un trio. Il y avait une douce jeune femme et deux hommes. Seul un d’entre eux la touchaient, la couvraient de baiser et la prenaient. L’autre homme était assis près d’eux, tout habillé. Il ne faisait que regarder dans un calme déroutant. Intensément, très intensément. Secrètement, je l’enviais, sans pour autant penser qu’un tel scénario se réaliserait.

Nous avons commencé à fantasmer. Au début, pour rire. Mais à force d’en rire, le thème a fini par devenir sérieux. Des pensées me traversaient l’esprit : serais-je capable de faire l’amour devant mon homme ? En retirerais-je du plaisir ? Et si je prenais plus de plaisir avec l’autre qu’avec mon homme ?

Un jour, j'ai dit à Benjamin que je pensais être prête pour inviter un autre homme à partager une partie de notre vie sexuelle. J’ai dit une partie, car il faut bien comprendre que le candaulisme, à mon sens, ne doit pas être l’unique source de plaisir pour un couple. Cependant cet avis ne regarde que moi.  Benjamin a adoré ma proposition.

L'idée de quitter ce costume de la femme prude pour enfiler la tenue de la dévergondée en proie aux désirs m’a rajeunie de plusieurs années. Cela m’a remplie d’une sensation de satisfaction énorme. Et je ne parle pas de ce qui a suivi !

Histoire de candaulisme : « Une invitation à me faire l’amour »

Il y avait cependant quelque chose d’important à régler : tout cela devait rester caché. L’opinion des gens, leurs médisances et les rumeurs seraient trop lourdes à supporter pour mon mari. Pour moi aussi d’ailleurs.

Nous avons commencé à réfléchir à la personne qui pourrait remplir ce rôle d’amant discret. Benjamin a comme dirait-on lu dans mes pensées. Je n’osais pas le nommer, mais il y avait quelqu’un qui me plaisait : un ancien collègue de Benjamin qui avait déménagé l’an dernier. Les deux n’avaient qu’un contact très sommaire, mais ils se respectaient et s’appréciaient.

Moi aussi j’appréciais sa belle mine, son charme et son esprit. Il est le genre d'homme qui éclaire les pièces quand il entre quelque part. En plus d’un beau corps, il possède une forte personnalité. Je savais que Benjamin l’admirait aussi.

Benjamin et moi nous sommes embrassés et masturbés en pensant à comment nous impliquerions cet ancien collègue. Serait-il prêt à accepter notre proposition ? Il fallait en avoir le cœur net : Benjamin lui a envoyé un e-mail pour lui indiquer que nous serions en visite à Bordeaux deux semaines plus tard et que nous apprécierions de le revoir. Une invitation à me faire l’amour aurait été malvenue. Il n’y aurait de toute façon pas cru une seule seconde.  

Trois jours plus tard, nous avions reçu une réponse positive. On a booké un hôtel dans la foulée.

« Les pulsions de sa queue dans ma chatte »

Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans un café du centre-ville. J’avais une tenue en satin rouge, avec un tour de cou bordeaux autour de ma gorge. Je me sentais très, très sexy. La soirée s’est très bien déroulée. Les hommes avaient fait couler le vin à flots. L’ambiance était de plus en plus détendue. Puis Benjamin a blagué : « Et si tu venais avec nous à l’hôtel ! J’ai une bouteille de champagne au frais. » Notre invité à dit « soyons fous » en me regardant. J’ai passé ma langue sur mes lèvres à ce même moment qui voulait dire « Je te veux ».

La soirée est alors partie en vrille. Les hommes ont commandé une nouvelle bouteille qu’ils ont finie en moins d’une demi-heure et nous sommes partis à pied à l’hôtel. Les hommes n’arrêtaient pas de rire. Benjamin en a profité pour dire à son collègue qu’il pouvait se faire plaisir avec moi.

A l’hôtel, ce fut immédiat. Il m’a prise dans les bras, a tiré ma robe vers le haut, m’a allongée sur le lit, a baissé ma culotte puis a sorti sa queue et m’a prise au sens brut du terme. Dieu qu’il m'a fait haleter ! Mon homme était assis à côté et me tenait la main. Dans l’autre il avait son sexe qu’il masturbait. En moins de cinq minutes notre invité m’avait inondée. Je pouvais sentir les pulsions de sa queue dans ma chatte débordante de sperme. Il s’est retiré et sa semence a coulé à l’intérieur de mes cuisses. C'était aussi instinctif que ça ! Le coup du sperme n’était pas prévu mais nous avions confiance en lui.

Nous avons remis le couvert environ une demi-heure plus tard, sauf que cette fois mon homme s’est joint à nous. J’avais envie de le faire avec deux hommes à la fois. Je n’ai pas été déçue !