Peu de temps après notre mariage, je me suis dit que ce serait génial si ma femme se faisait baiser par quelqu'un d'autre. Mais cette douce pensée ne semblait être qu’un vague fantasme. Dans la famille de ma femme, un tel comportement est tabou, défendu, condamné. Pourtant, à chaque repas de famille, à chaque événement qui nous rassemblait, je pouvais sentir la foule de désirs réprimés de cette famille parfaite en apparence. J’ai donc fait comme eux et j’ai laissé mes envies aux vestiaires, jusqu’à ce que ma femme dévoile la face plus sombre de sa personne.
Il a fallu quelques années avant que notre relation devienne plus libre et plus ouverte. Ma femme me donnait de plus en plus d’indices sur ses envies et sur ses lubies. Suite à sa révélation de vouloir forniquer avec d’autres, nous avons pratiqué l’échangisme. Cela a duré pendant de nombreuses années. Nous rencontrions des couples aussi bien que des hommes célibataires. Il était primordial pour moi de prendre soin d'elle. La réalisation de son plaisir était plus importante que d'avoir plusieurs femmes avec qui coucher. Cela tombait bien, puisque ma femme plaçait également son plaisir avant le mien. Elle avait achevé d’étaler sa face dominatrice au grand jour.
Plus tard, nous n’avons plus que cherché des hommes pour des trios. Cela conduisait souvent à une relation à deux personnes et je me tenais en-dehors. Mais cela ne me gênait pas, tant que je pouvais être là, j’étais heureux. Dans ces cas-là, il arrive bien souvent qu’on ait le droit à un petit quelque chose. Il faut juste être patient et savoir lire et saisir les opportunités quand elles se présentent.
Puis je suis tombé malade. Physiologiquement je ne tenais plus la route. Ma femme m’a gardé près d’elle, me laissant profiter comme je le pouvais de sa vie sexuelle de plus en plus débridée.
Au début, je participais aux recherches des hommes qu’elle ramènerait à la maison. Mais peu à peu j’ai été exclu du jeu. Elle avait trouvé son amant favori, un amant très dominant qui lui a probablement parlé, qui avait sûrement tout fait pour me transformer en cocu, pour m'humilier, pour me réduire au rang de faire-valoir de leurs lubies.
Tous deux semblaient aimer la façon dont ils pouvaient me traiter. J'étais devenu un cocu de seconde zone, j'étais prêt à servir, sous n'importe quelle forme, dans n’importe quelle condition. J'étais néanmoins autorisé à être présent quand il la baisait. En bref, j’étais rendu aux services de niveau inférieur.
Après un certain temps, ma femme semblait trop vieille pour cet amant dominateur et il la quitta sans explication. Mais notre relation ne s’est pas améliorée pour autant. Elle avait gardé le goût de la domination et elle m’humiliait dès qu’elle le pouvait. Difficile d’y comprendre quelque chose : j’appréciais cette soumission psychologique qui se greffait à ma soumission physiologique.
Elle m'a demandé de lui trouver un nouvel amant. J'ai réussi à en trouver un qui était fou d'elle. Il était l’exact opposé de son dernier amant. Il était veule, lâche, soumis. Du moins avec elle. Il n'était pas mon ami et, malgré sa condition de soumis, m'a traité beaucoup moins bien que son prédécesseur.
Un jour, ils ont remarqué que je me masturbais quand il la baisait. Cela les a mis hors d’eux : ils avaient le sentiment d'être des servantes dociles de mon plaisir. Alors ils m’ont exclu. Dès lors je ne pouvais plus entrer dans la chambre à coucher. Ils demeuraient bons en ce sens qu’ils m’autorisaient à rester au pied de la porte. Je pouvais entendre leurs ébats, les visualiser dans mon esprit.
En raison de la fourbe domination de l’amant soumis, j’avais glissé de plus en plus dans la subordination et j’acceptais cette situation sans me plaindre ; ce qui était attendu de moi, même si cela me dérangeait. Cela me dérangeait depuis un bon moment d’avoir des désirs sexuels avec lesquels je ne pouvais rien faire. Et cela n’était pas dû uniquement à mon statut de moins-que-rien : de jour en jour je perdais mes facultés physiques. Jusqu’au jour où je ne pouvais plus avoir d’érection. La messe était dite.
Aujourd'hui, j’ai atteint un niveau de soumission tel que les humiliations n’ont aucun effet sur moi. Je me sens vraiment reconnaissant de pouvoir de nouveau participer aux ébats de ma femme, d’être un mari cocu fidèle, qui n'est là que pour le bien de ses deux maîtres. Elle a effectivement trouvé un nouvel amant, un maître bon qui sait respecter la soumission de son soumis. La plupart du temps, ils ne me remarquent à peine – même ma femme. Mais parfois elle se souvient de moi et me le fait savoir avec amour par une caresse, par un baiser sur le front. C'est mon plus grand bonheur aujourd'hui.
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