Le blog de de la rencontre candauliste

Olivier et moi avons récemment décidé de faire évoluer notre sexualité. Echangistes depuis des années, nous cherchons désormais notre plaisir dans le candaulisme. Il ne fait aucun doute que notre expérience échangiste a été positive et amusante mais qu’elle ne nous épanouissait plus comme aux premiers jours. Grâce à diverses rencontres, j'ai pu néanmoins explorer et découvrir un plus grand plaisir sexuel que ce qu’Olivier aurait pu m’offrir à lui seul. Et vice versa. Quoi qu’il en soit aujourd’hui, l’échangisme a renforcé notre confiance qui nous a permis de mieux nous définir en tant que couple.

Nous ne savons pas encore vraiment comment expliquer à nos amis et contacts échangistes ce virage dans notre sexualité, et comme nous savons que des propositions de rencontre peuvent arriver à tout moment, nous réfléchissons actuellement à la façon dont nous pourrions associer nos envies de candaulisme à des rassemblements échangistes. Si nous allons à une soirée échangiste puis-je me permettre d'être intime avec un autre homme sans l’avis d’Olivier, ni sans qu’il s’en aille avec la femme de mon amant ? Devrais-je obtenir sa permission avant de partir avec quelqu’un ? Devrais-je refuser à Olivier le droit à plaire à une autre femme ? Ces questions restent ouvertes.

Il y a peu, nous avons été invités par un ami proche à une fête qu’il organisait pour l’anniversaire d’un de ses bons amis, que je nommerai « T » pour ne pas le griller, et sur lequel j’avais des vues.  Il n’était pas tant question de savoir si nous allions ou non y assister, mais plutôt de comment nous allions nous y comporter.

Expérience candauliste : « La première à souffler sa « bougie d’anniversaire »

La fête a commencé tôt et il y avait beaucoup de visages familiers dont quelques amis que nous n’avions pas vus depuis longtemps. Quelques minutes après son arrivée à la fête, «T» et moi nous sommes embrassés et je lui ai murmuré à l’oreille que je voulais être la première à souffler sa « bougie d’anniversaire ». Il était plus qu'heureux d'entendre mes vœux et me confia qu'il en serait ravi.  

Il était cependant évident qu’aucun échange de partenaire n’allait se produire immédiatement. Les invités étaient d’abord occupés à socialiser, boire et manger le repas léger qui était servi. Bien que quelques hommes accrocheurs aient avancé vers moi pour « me prendre la main », je les ai écartés en sachant que je me réservais pour «T». Ayant déjà été avec lui, je savais que je ne serais pas déçue. Je savais aussi que certains des autres seraient moins que satisfaisants. Olivier s’est également abstenu de répondre aux avances qu’il a reçues de plusieurs femmes. Il n'était pas cloîtré dans la chasteté mais se comportait comme tel. Je dois avouer que son aisance à décliner les avances des autres femmes m’excitait d’autant plus. Il était sexy dans son rôle de mari fidèle.

Peu de temps après, je suis parvenue à trouver le moyen de m’assoir seule à côté de «T» sur un canapé. Pendant que nous discutions, j'ai posé un oreiller du canapé au niveau de son entrejambe. Sentant l'exhibitionniste s’emparer de moi, j’ai glissé discrètement ma main sous l’oreiller. Elle était enflée et se dressait presque. Désireux d’aller plus loin, il m’a menée dans une des chambres à coucher. Nous nous sommes jetés sur le lit, arrachant les vêtements de l’autre de se détacher, nous embrassant et nous caressant. Olivier, sur invitation, nous avait suivis dans la pièce et avait observé pendant un moment les commentaires admiratifs sur la taille de «T», puis était sorti monter la garde pour nous protéger. La dernière chose que je voulais était qu’on soit dérangés.

« Il voulait que je lui raconte à nouveau les détails croquants »

«T» n’a pas tardé à entrer en moi et le tressaillement que j’ai ressenti était incroyable. Après plusieurs minutes au bord de l'apogée complète, un autre couple entra soudainement dans la pièce pour nous regarder. Leur arrivée a emporté le vent hors de mes voiles.

La femme taquina «T» avec son clitoris gonflé et, contrairement à ce qu’elle appréciait, son petit ami m'invitait à sucer son pénis mou. C'était inutile et sans intérêt, alors je me suis excusée, me suis levée, rhabillée, puis je suis retournée à la fête, pas entièrement satisfaite. J'ai vu Olivier sur un canapé, je me suis assise à côté de lui pour lui raconter les détails de ce qui venait de se passer. Il bandait dur à côté de moi.

La fête a continué. Tandis que les autres revenaient dans les chambres, nous sommes restés à l’écart pour éviter une discussion qui aurait pu mal tourner, car, je l’admets, j’avais été vexée par la situation. Nous nous sommes bien amusés malgré tout et avons continué à bavarder avec les autres pendant un moment. Lorsque certains invités ont commencé à partir, nous avons décidé de les rejoindre, en veillant à bien dire au revoir à «T» avec un baiser.

La soirée ne s’est pas terminée pour nous alors. Un long trajet en voiture nous a permis de parler de la fête. Il voulait que je lui raconte à nouveau les détails croquants de mon moment passé avec « T » qui avait été interrompu par cette bonne femme.

Au moment où nous sommes arrivés à la maison, je me sentais détendue et somnolente, mais une fois au lit et après quelques baisers intimes avec Olivier, une excitation extrême m'a prise. Je me suis empressée de demander à Olivier, dont le pénis était complètement levé, de me donner un plaisir oral.

Rétrospectivement, la soirée a été enrichissante pour nous deux. Nous avons appris que nous pouvons assister à un événement échangiste en fixant des limites pour honorer notre nouveau « pacte candauliste ». Plus important encore, j’ai découvert que les limites n’étaient que l’amélioration de l’émancipation sexuelle que je visais. En groupe et devant Olivier, il était facile et excitant de contrôler les désirs de quelqu'un d'autre en fonction de mes besoins. Et si mon amant n'est pas en forme, je sais aussi qu’Olivier est là pour me combler.