Le blog de de la rencontre candauliste

Quand je suis arrivé, Laura regardait des vidéos de sa dernière fois avec Monsieur. Elle était mouillée, nue sur le lit en train de se faire plaisir et me demanda de la faire jouir. Je ne voulais pas être déprimant, mais je lui ai rappelé qu’elle avait besoin de l’autorisation de Monsieur. Je pourrais dire de sa réponse qu’elle n’était pas contente de mon rappel à la règle concernant la nécessité d’obtenir la permission de jouir avec moi.

Laura aime la soumission uniquement quand elle se trouve dans cet espace mental que représente le candaulisme pour elle. Mais lorsqu’elle n’y est pas, ce genre de remarque l’énerve. En tant que femme forte et indépendante, la soumission n’est pas dans sa nature, ni dans la façon dont elle veut vivre sa vie. Elle peut le faire en quelques instants mais pas comme un mode de vie. Pourtant, Monsieur semble lui donner envie de se soumettre à lui. Laura a soif de cette soumission autant que je désire être cocu. Cela fonctionne à merveille pour nous et chaque autorisation nourrit les désirs de l’autre.

En tant que cocu, j’ai encouragé Laura dans son exploration et son cheminement vers la soumission à Monsieur. Dans sa position de dominant, la soumission de Laura constitue pour lui, comme pour moi d’ailleurs, une expérience érotique intense. Bien que Monsieur soit un grand Dominateur, je participe activement à cette relation de soumission et de domination que nous avons mise en place. Il n’est pas exagéré de dire que si je n’avais pas attisé la flamme de temps à autre, que je ne lui avais pas rappelée tout le plaisir qu’elle éprouve dans sa relation avec son maître, Laura en aurait peut-être fini avec son voyage dans la soumission candauliste.

C'était l'une de ces fois où elle se sent rebelle et frustrée de ne pas pouvoir jouir. Cet après-midi-là, elle veut juste le faire et ne pas le dire à Monsieur. Je l’encourage à respecter l’intention de son maître en tâchant de ressentir la plénitude de l’expérience de soumission. Le refus peut être aussi excitant que la permission. J'ajoute que s'il peut y avoir des moments où elle veut être une rebelle, elle a juste besoin de se rappeler à quel point il fait bon pour Monsieur de la prendre par derrière avec sa grosse queue et de la baiser de plus en plus profondément comme il le fait si souvent. J'ajoute qu'il a acquis sa chatte, en a fait sa propriété et que son obéissance n'enrichit son expérience érotique qu'en acceptant cette nouvelle réalité. Elle accepte, car elle ne veut pas gâcher les choses en étant indocile. Pour le moment du moins. Elle ajoute qu’il viendra un jour où notre jeu prendra fin et qu’il faudra que je l’accepte.

Bien sûr, pour une femme comme Laura avec une telle libido, il n’est pas pratique d’avoir à chaque fois besoin de l’autorisation pour pouvoir jouir. Je suggère qu'elle contacte son Dominateur et demande la permission de jouir avec moi. Je sais que cela va exciter Monsieur, renforcer son autorité et son sentiment de propriété. Cette demande démontrerait toute notre soumission à son endroit.

Quelques heures après son appel, Monsieur lui envoie un sms pour lui faire savoir qu’il lui donne la permission de jouir avec moi. Elle n’est pas contente de l’ensemble du processus, mais elle admet qu’elle me désir davantage désormais. « Je ne peux pas nier que je suis trempée maintenant ! » me dit-elle.

Sur le plan psychologique, elle fait face à une dissonance étonnante. Elle se demande comment elle peut être si farouchement indépendante tout en devenant si excitée à l’idée de devoir demander à un homme la permission d'avoir un orgasme avec moi, son homme. Sa chatte dégoulinante révèle cette curieuse dualité. Laura me montre quelques captures d'écran de la conversation.

Son Dominateur est également curieux de savoir si sa petite chatte était encore aussi tendre que quelques nuits auparavant.

« Ça va bien ... ça fait encore un peu mal. »

C’est toujours étonnant pour moi de constater que la chatte de Laura soit souvent si douloureuse après une soirée avec son Dominateur. Avec Monsieur, les douleurs durent des jours.

Monsieur veut également savoir si elle s’amuse bien et si j’aime entendre parler des vilaines nuits qu’ils passent ensemble.

Laura lui répondit : « Oui beaucoup ! J'ai passé un si bon moment avec toi et j'en veux plus ! Mon homme aime particulièrement ma soumission à votre endroit. »

Le Dominateur de Laura la loue et la traite de « bonne fille ». Il demande ensuite ce qu'elle veut dire par « j’en veux plus » ?

« Plus de toi ! Je veux plus de fessées ! Je veux ta grosse bite qui me pénètre par derrière… »

La suite la semaine prochaine…