Je n'ai pas d'explication tangible pour justifier le fait que
j'ai accepté d'attendre les quinze minutes qu'il m'avait exigé de patienter
avant de retrouver Stefanie. Au bout de quelques minutes, j'ai entendu des pas
dans la cage d'escalier. Je pensais que ma femme, qui avait dû être « libérée »
entretemps, s'était rafraîchie et venait à moi à présent, mais j'avais tout
faut : c'était Frank qui était soudainement de retour dans la pièce.
C'était juste une « patrouille », comme il disait,
il voulait s'assurer que ses règles étaient respectées. Je n'osais plus enfreindre
la règle, alors j'ai attendu docilement que le quart d'heure soit complètement
terminé. Je suis descendu un peu mal à l'aise, mais ça ne pouvait pas devenir
plus violent, ai-je pensé. Mais je me trompais.
Ma femme était allongée sur le sol. Frank avait ficelé tout
son corps avec du ruban de bondage. Même la tête était complètement enveloppée,
seul le nez était libre. J'ai pris une paire de ciseaux en balbutiant des
excuses. J'étais profondément désolé sans savoir vraiment si je devais l'être.
Frank m'avait plongé dans un état étrange que je n'avais jamais vécu
auparavant.
J'ai pris mon courage à deux mains et dit que j'appellerai
Frank immédiatement pour lui faire savoir qu'il n'y aurait plus de rendez-vous.
« Tu n'oseras pas ! » m'a dit ma femme sèchement
après que je l'ai suffisamment libérée de la bande pour qu'elle puisse parler à
nouveau.
« Tu as vu comment il m'a baisée ? Je n'ai jamais été traitée
comme ça avant, je ne m'en passerai plus maintenant. »
J'étais abasourdi. J'ai regardé ma femme perplexe, qui d'une part avait été complètement subjuguée par un autre homme il y a quelques minutes et d'autre part me traitait durement.
«Tu as aussi aimé quand il m'a baisée dans le cul. Je
connais l'expression sur ton visage quand tu es excité ».
Je commençais juste à dire « oui, mais » quand
Stefanie m'a interrompu.
« Arrête de parler. J'ai encore envie et tu as
maintenant la chance de te faire sucer par une femme attachée. »
Ma culpabilité avait disparu et j'ai décidé de saisir
l'occasion.
Je me suis déshabillé, j'ai déposé un coussin de canapé sous
la tête de Stefanie, je me suis agenouillé sur elle et j'ai fourré ma bite dans
sa bouche. D'après la façon dont elle y travaillait, je pouvais immédiatement
dire qu'elle était encore excitée.
Elle a sucé et léché ma bite si intensément qu'il est
rapidement devenu clair que je ne pouvais pas tenir longtemps. Je savais
qu'elle n'aimait pas avaler, j'avais donc pris l'habitude de lui faire un signe
quand j'étais sur le point de venir. La plupart du temps elle réagissait et
j'éclaboussais le haut de son corps plutôt que dans sa bouche.
Cette fois-là elle a ignoré le signe, bien qu'elle eût déjà
reçu une charge de Frank. Les restes étaient toujours collés à son visage.
Quand je lui ai fait comprendre que j'allais éjaculer elle a
coincé ma bite entre ses dents pour que je ne puisse pas la retirer.
Elle a travaillé la pointe avec sa langue jusqu'à ce que je ne
puisse plus me retenir et de lui injecter une énorme charge dans sa bouche.
Elle a tout absorbé, pas une goutte n'est ressortie.
Ensuite j'ai libéré Stefanie des liens de Frank et je me
suis allongé à côté d'elle. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa bouche avait été
injectée deux fois, son cul était toujours rouge et elle avait toujours des
traces sur ses seins là où ils avaient été attachés.
En somme ma femme avait été baisée dans les règles de l'art
BDSM et avait dû endurer beaucoup de supplices, bien plus que je ne lui aurais
jamais demandé.
Néanmoins, ou peut-être à cause de cela, elle semblait
heureuse et satisfaite. Elle posa sa tête sur ma poitrine, se blottit contre
moi, soupira de contentement et dit simplement « merci. »
Puis elle m'a juste dit que Frank avait annoncé qu'il serait
en contact et que nous ne devrions pas l'appeler d'ici là. Avant que je puisse
demander de quoi il s'agissait, elle s'est endormie. L'expression sur son
visage était celle du calme après la tempête.
J'aurais encore dû aborder beaucoup de choses avec elle, en
particulier pour savoir pourquoi les choses ont soudainement pris un tournant
violent avec Frank, pourquoi elle l'avait laissé faire des choses qu'elle
m'interdisait, mais je l'ai laissée dormir.
Contrairement à ce qu'espérait Stefanie, Frank n'a plus
donné signe de vie pendant les semaines suivantes. Une attente insoutenable
pour ma femme et pour mes nerfs qui étaient à bout tant son emprise
psychologique nous cadenassait l'esprit.
Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.
Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.
2 commentaires
Poster un commentaire