Réduire la masculinité est au cœur de la soumission au sein du couple pratiquant le cuckolding pour son petit plaisir. Il existe d’ailleurs plusieurs façons de mettre en scène et d’exercer l’émasculation symbolique. Empêcher votre homme de porter des sous-vêtements masculins en est une.
Le port de la petite culotte féminine est associé aux cocus moins bien « armés » que d’autres, des hommes dont l'équipement passerait presque sans problème dans la culotte d'une femme sans en déborder. En outre, femme d’un tel cocu a, de toute évidence, grandement besoin de la grandeur du jouet d’un amant bien bâti.
Exiger qu’un mari doté d’une petite bite renonce aux sous-vêtements pour hommes en faveur de la culotte permet de capitaliser sur sa soumission en lui donnant non seulement un symbole physique de sa sujétion, mais en fait également une expression visible et tangible que les amants peuvent apprécier aussi.
Je veux être claire à ce sujet : ne confondez pas cela avec le travestissement ou la féminisation. Le travestissement et la féminisation se réfèrent à une utilisation beaucoup plus approfondie des vêtements féminins et des modifications de comportement. Un travesti est dans beaucoup de cas un homme hétérosexuel qui, pour une raison quelconque, ressent le désir et éprouve du plaisir à s'habiller en femme. Ce comportement peut commencer avec un peu de lingerie fine, y compris des culottes ou des collants, mais peut aussi évoluer ensuite vers les vêtements d'extérieur.
Je parle ici d'avoir un mari à l’apparence extérieure masculine dans la vie de tous les jours et soumis en privé, ne devant porter que la culotte de votre choix en guise de sous-vêtements. Il n’est pas question de l’humilier auprès de ses collègues de travail, de ses amis ou de son entourage proche. Le cuckolding ne doit en effet pas déteindre sur la vie professionnelle et sociale du cocu. Il s’agit simplement d’un rappel de son statut et de son mode de vie qui lui remémore constamment sa soumission à sa femme.
Pour beaucoup de couples, le voyage vers le cuckolding commence d'abord par une exploration de la soumission du mari. Étant donné que l'ego masculin est si étroitement lié à ses organes génitaux, ils représentent le chemin le plus efficace vers sa soumission. Les culottes sont un signe physique de faiblesse qui a longtemps été utilisée pour porter la honte sur les hommes au comportement moins viril. Un premier approfondissement de la soumission d'un homme peut donc être de lui faire porter une petite culotte.
La plupart des cocus en petite culotte peuvent commencer cette expérience à la maison ou pendant des périodes de jeu spécifiques, mais finiront, s’ils se soumettent complètement à leur femme, par passer à la petite culotte comme seule forme de sous-vêtements. Alors que la soumission du cocu devient un aspect plus ouvert et central du mariage, la plupart des femmes, même les plus dominantes, trouvent qu'elles manquent de chaleur masculine et l'idée de prendre un amant pour profiter d'un épanouissement sexuel à la hauteur de leurs attentes devient très attrayante. Cela sert de surcroît à approfondir la soumission du cocu.
Dans le cuckolding, qui diffère du candaulisme en bien des aspects, l'attention d'un cocu, en particulier lorsque sa femme a un invité masculin venu lui donner le plaisir sexuel qu’elle n’obtient pas de son mari, doit toujours se concentrer sur sa femme et non sur lui-même. Le simple fait d'avoir votre cocu en culotte devant votre amant ne doit pas empêcher votre cocu de se concentrer sur vous. Il y a de fortes chances pour qu’il se frotte à travers sa culotte pour profiter d’un peu de sensations physiques. Vous verrez certainement sa main tenter de se glisser à l'intérieur de la culotte pour se caresser, ce qui est clairement le signe qu’il est plus focalisé plus sur lui-même que sur les besoins de sa femme en ce moment. Ce sera alors à vous de gérer cette permission que votre mari tentera de s’octroyer.
C'est là que la chasteté peut entrer en jeu. La chasteté masculine forcée sert à l'empêcher de se masturber, mais également à éviter la plus fondamentale des libertés masculines : l'érection. Cela permet un contrôle total du pénis du cocu pour la femme, garantissant que toute l'attention de ce dernier se portera sur elle. Certains peuvent choisir de combiner les deux lors de jeux coquins ou de façon continuelle.
Pour ma part, j’accorde à mon mari le droit de se relâcher. Il ne peut cependant se toucher qu’à travers sa petite culotte. Je lui offre ce petit plaisir même si je trouve cela peu attrayant de voir de jolies culottes toutes trempées de larmes de cocu.
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