Le blog de de la rencontre candauliste

J'ai toujours été coquine et « flirty » mais je n'ai jamais essayé de le cacher. Même après mon mariage j'ai continué de flirter, d’une part parce que c’est une partie de moi et d’autre part parce que c’est pour moi une façon de tester mon niveau d’attractivité la trentaine déjà passée. Dès le début j’ai été claire avec mon mari mais ce n'est que plus tard que j'ai découvert qu'il était vraiment d'accord avec ça. Cependant je n'ai jamais triché, même si j'avoue que j'avais beaucoup de fantasmes.

Après environ deux ans de mariage, un jour, Thomas et moi étions à la plage et nous nous sommes arrêtés pour prendre un verre dans un bar. Pendant que Thomas commandait au bar, un type, que j’appellerai Daniel, s'est assis sur le tabouret à côté du mien. Il ne portait qu’un slip de bain et son renflement était si énorme que je ne pouvais pas détacher mes yeux de son paquet.

Daniel et moi avons commencé à parler et à flirter l'un avec l'autre. Je lui ai tout de même dit que j’étais accompagnée et mariée, mais cela n'avait pas d'importance pour lui. Nous avons échangé nos numéros de téléphone avant que Thomas ne revienne s’assoir. J'avais déjà fait ça avec d'autres gars par le passé mais leur avais toujours donné un faux numéro de téléphone moi. Toutefois j'ai toujours gardé leurs numéros. Même si je n'ai jamais rappelé l'un d'eux, le fait que je les aie gardés me fait dire que je n'aurais probablement pas pu rester monogame beaucoup plus longtemps.

Le candaulisme raconté par une hotwife : « J'avoue que je pensais à Daniel »

Quand Thomas est revenu avec les boissons, je me suis sentie un peu gênée, d’autant que je n’avais pas cherché cette situation et qu’il n’avait peut-être rien su de cette rencontre fortuite. Je n’ai rien dit mais j’ai passé la journée à penser à Daniel.

La même nuit, Thomas et moi avons fait l'amour. J'ai vraiment essayé de m'y mettre, mais comme c'était presque toujours le cas, je faisais semblant. J'avoue que je pensais à Daniel. Après que Thomas a éjaculé, nous avons eu une conversation. C’est lui qui l’a initiée.

« Je sens bien que je ne te satisfais pas. » J’étais un peu prise de court et je lui ai répondu « ne t’inquiète pas, tout va bien. » Mais il a insisté : « Je veux que tu sois honnête. Est-ce que je t'ai déjà fait jouir ? »

Je lui ai dit que je n'étais pas à l'aise avec cette conversation et de ne pas se prendre la tête. Mais il n’a pas abdiqué et j'ai finalement admis que non mais que parfois j'avais un petit orgasme quand il se mettait sur moi et que son pubis frottait mon clitoris. Comme il a encore insisté pour avoir plus de détails je lui ai répondu sèchement que j’avais connu d'autres mecs plus talentueux.

J'étais en colère contre lui de me l'avoir fait admettre, et contre moi-même de l’avoir blessé. Il a dit qu'il n'était pas blessé et qu'il avait vraiment le besoin que je sois honnête. Il a dit aussi qu'il avait trouvé mes vibrateurs (je pensais que je les avais bien cachés).

Aventure candauliste : « La seule façon pour moi de jouir »

Il m’a demandé si c'était la seule façon pour moi de jouir et de m’épanouir. Ce que j’ai admis et d’ajouter :

« Ecoute, Thomas, je ne peux jouir pleinement que par voie vaginale, ce n'est pas ta faute, ni la mienne non plus. »

Il a dit : « Je sais chérie, je ne te blâme pas, je t'aime. Quand tu aimes quelqu'un, tu veux qu'il soit heureux, qu'il ait le plaisir dont il a besoin. » Je ne me souviens pas de tout ce que nous avons dit d'autre, mais il a fini par dire : « Je veux dire par-là que si tu t’égares de temps en temps je pourrais vivre avec ça, tant que tu rentres à la maison… »

Je ne pouvais pas croire ce que j'entendais. Je savais qu'il aimait entendre parler de mes rencontres passées, mais je considérais cela comme une simple épice supplémentaire pour pimenter nos rapports sexuels. Quand il a dit qu'il serait d'accord si je m'égarais, je me suis inquiétée. J'ai pensé à toutes sortes de choses, j’ai pensé qu’il cherchait peut-être à avoir la permission de le faire aussi. Sur le coup j’ai réagi impulsivement et lui ai demandé s'il y avait quelqu'un d'autre. Il a dit que non, qu’il ne voulait personne d'autre. Jamais. Il voulait juste que je sois heureuse. Au fond de moi je le croyais et j'étais presque sûre qu'il était honnête. Comme je ne me sentais pas de poursuivre la conversation, d’autant que j’ai tout de suite pensé à Daniel, je lui ai dit que nous en avions terminé avec cette conversation qui en fait ne faisait que commencer…