Ils se sont embrassés doucement au début, mais leur retenue
apparente n'a pas duré longtemps. Les baisers sont devenus passionnés et
profonds. J'étais abasourdi. Même si nous n'avions établi aucune règle, Noémie
et moi avions toujours discuté du fait que les baisers nous paraissaient
intimes, plus intimes que l'acte sexuel en lui-même. Par conséquent, même si
aucune règle n'avait été convenue au préalable, j'avais en quelque sorte
supposé qu'il s'agissait d'une règle tacite. Elle était apparemment en
désaccord avec ma vision du baiser, ou du reste avait changé d'avis
entre-temps.
« Chris, dit Noémie me sortant par la même occasion de
mon état de stupéfaction, aide-moi. » Elle jeta un coup d'?il par-dessus son
épaule. Elle me demandait de l'aider à enlever son corset. Le même haut que j'avais
aidé à mettre quelques heures plus tôt.
J'ai posé mon verre, me suis dirigé vers elle et me suis assis
sur le bord du canapé derrière elle. J'ai desserré les lacets du corset pendant
qu'ils s'embrassaient. Leurs lèvres se sont entrouvertes. J'ai retenu mon
souffle pendant que je finissais de lui ôter son haut.
« Ils sont magnifiques », dit Thibault en
regardant les seins de Noémie. Il les palpa et commença à sucer bruyamment ses
tétons. Elle appréciait. Elle s'est laissé faire un moment avant de descendre
au sol sur ses genoux.
Elle déboucla sa ceinture et ouvrit son pantalon. Sa queue était
maintenant à l'air libre. Il n'était pas encore vraiment dur, mais il était déjà
beaucoup plus gros que moi à mon apogée.
Les doigts de Noémie courraient sur son sexe. Elle saisit la
base qui durcissait.
« Oh mon dieu, souffla-t-elle, elle est énorme ».
Elle a levé les yeux vers moi et a réitéré. « Tu peux le croire ? »
Elle semblait incommensurablement excitée par sa taille mais intimidée en même temps. Elle a commencé à la base de la tige, léché lentement, remontant sa langue vers le haut jusqu'au gland. Thibault laissa échapper un soupir guttural de plaisir alors qu'elle prenait la tête de sa queue dans sa bouche et commençait à sucer.
Thibault retira son pull pour révéler une poitrine tonique
et bien tracée. Noémie gémit entre deux bouchées. Sa main droite était occupée
à le caresser. Elle fit glisser la gauche le long de ses cuisses puis de son abdomen
pour tâter sa poitrine musclée.
Je ne pouvais pas détacher mes yeux de ma femme alors
qu'elle suçait un homme que nous ne connaissions que depuis quelques heures.
Elle a travaillé son énorme membre comme une experte et cela m'a rappelé à quel
point elle était plus expérimentée que moi. C'était quelque chose qui m'avait
toujours inquiété et excité en même temps.
Le nouvel amant de ma femme était dur à présent et avait ce
qui était peut-être le plus gros pénis que j'aie jamais vu. J'ai essayé de le
comparer au porno que j'avais vu, mais je ne pouvais pas vraiment me souvenir
de quelque chose de plus grand. C'était peut-être parce que je la voyais en personne.
Je levai les yeux sur le visage de Thibault, et de réaliser
qu'il m'avait surpris en train de le fixer. Il sourit et fit un clin d'?il, ce
qui me mit vraiment mal à l'aise. Il tourna son attention vers Noémie et dit :
« Hé jolie, enlevons
cette jupe. » Il la prit par les mains et se leva, l'emmenant avec lui.
« Chris, tu veux bien ? »
Thibault me demandait d'enlever la jupe de ma femme pour
lui. C'était bizarre que la demande vienne de lui, mais j'ai acquiescé. Je ne
savais pas quoi faire d'autre. Je me suis agenouillé à côté d'eux alors qu'ils
s'embrassaient au milieu du salon de la hutte.
J'ai ouvert la fermeture éclair de la jupe de ma femme et,
en contemplant encore une fois la beauté de ses fesses, je l'ai baissée. Elle
en sortit et prit Thibault par la main pour le conduire dans la chambre. Ils
ont disparu dans l'autre pièce. Je me sentais très seul dans le salon, avec
rien d'autre que moi et leurs vêtements, alors j'ai laissé tomber sa jupe et
les ai suivis.
Quand je suis entré dans la chambre, Noémie était déjà sur
le dos, les jambes écartées. Thibault se frayait déjà un chemin entre ses
jambes, sa queue gigantesque se dressait bien droite. Il ne remarqua pas mon
entrée, il était trop obsédé par ma femme allongée devant lui, prête à le recevoir.
La suite la semaine prochaine.
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