Le blog de de la rencontre candauliste

Ma respiration s'est alourdie alors que les gémissements de Mathilde ont finalement culminé dans un orgasme qui a semblé secouer tout son corps. Elle s'enfonça dans le lit alors qu'elle se remettait de ses émotions. Christophe s'approcha de moi et mit ses doigts sous mon nez. Je pouvais sentir l'odeur muqueuse de Mathilde sur ses doigts.

- Tu aimes ce préambule ? 

Je ne savais pas exactement ce que cela signifiait mais j'ai hoché la tête pour dire oui.

- Alors tu vas adorer ça. Allonge-toi à côté d'elle, je veux que tu regardes son visage pendant que je la baise.

Mathilde n'a même pas regardé dans ma direction alors que je m'allongeais à côté d'elle. Christophe s'est positionné entre ses jambes et a taquiné son ouverture avec le bout de sa bite. Mathilde a essayé de se déplacer vers lui pour le faire entrer mais il a reculé.

- Tu veux cette grosse bite, n'est-ce pas Mathilde ?

Elle hocha la tête en le tirant vers elle.

- Dis-le !

- Je veux ta grosse bite, Chris.

- Depuis combien de temps veux-tu ma bite, Mathilde ?

Elle marqua une pause et dit « depuis le jour où je t'ai rencontré ».

Et avec cela, il entra en elle. L'extase sur son visage étant criante alors qu'il commençait à pousser sa bite en dedans et en dehors. Ses gémissements trahissaient à quel point c'était bon. J'avais déjà utilisé de gros godemichés à plusieurs reprises pour la combler pendant nos jeux de rôle. Les sons qu'elle faisait pendant que Christophe la baisait étaient complètement nouveaux. Elle gémissait à chaque poussée.

- Dis à ton mari ce que tu ressens. 

Mathilde se mit à décrire l'extase qu'elle vivait : « C'est tellement bon, sa bite me remplit. J'adore ça. Oh oui, baise-moi Chris. Baise-moi fort. »

Sa respiration s'intensifia et elle eut son deuxième orgasme. Elle n'avait jamais eu d'orgasme avec moi sans l'utilisation d'un vibromasseur. Sa bite la frappait manifestement aux bons endroits.

- Mets-toi à quatre pattes Mathilde !

Elle se retourna et prit sa position préférée. Christophe s'adressa alors à moi en ces termes : « Mon cocu, glisse-toi en dessous. Je veux que tu me regardes baiser ta femme de près. »

Je me suis donc allongé sous le corps de Mathilde, mon visage était directement sous sa chatte humide qui dégoulinait sur moi. Son sexe avait l'air encore plus gros alors qu'il se glissait à l'intérieur. Le souffle de Mathilde sembla se bloquer dans sa gorge alors qu'il s'enfonçait au plus profond d'elle. Elle faisait des bruits d'animaux, des grognements de plaisir que je ne connaissais pas.

- Lèche-lui la chatte, me dit-il soudainement.

Je n'ai pas hésité malgré la proximité de sa bite. J'ai vite découvert que je ne pouvais pas éviter sa bite pendant que je lui léchais la chatte. J'ai essayé de ne pas y penser car j'étais ravi d'être impliqué et si proche de l'action.

Il continua à la marteler tandis que Mathilde bougeait, criait de plus en plus fort. Une fois encore, il l'amena au bord du gouffre orgasmique et recula. Il s'est retiré, l'a légèrement poussée en avant et a mis sa bite près de ma bouche.

- Goûte sa chatte, mon cocu.

J'ai hésité. Il avait éloigné Mathilde de moi, rendant sa chatte moins accessible. Alors que je me penchai vers elle, il m'arrêta.

- Non, cocu. Goûte sa chatte sur ma bite.

Cela n'avait jamais fait partie de mon fantasme, mais pour une raison quelconque, je voulais lui faire plaisir comme Mathilde lui avait fait plaisir. Je tirai la langue et léchai timidement sa hampe. Je pouvais goûter les jus crémeux de Mathilde sur lui. Du coin de l'?il, je voyais le regard de Mathilde se poser sur moi avec un sourire narquois sur son visage.

- Suce-la, salope !

J'ai pris sa bite dans ma bouche. N'ayant aucune idée de la méthode, j'ai essayé d'imaginer Mathilde pendant qu'elle le suçait. Je me concentrai autant que faire se peut sur le goût de Mathilde alors qu'il me baisait la bouche.

- Tu vois Mathilde, il fera n'importe quoi. C'est ton cocu maintenant. Va t'asseoir cocu ! Je suis prêt à remplir ta femme de mon sperme.

Il s'allongea sur le dos. Mathilde grimpa dessus et s'empala sur sa queue. Elle commença lentement à broyer sa bite, d'avant en arrière, rebondissant comme sur un trampoline, de plus en plus vite. Elle a recommencé son grognement animal avant de jouir.

Christophe la déplaça jusqu'au bord du lit et se tint entre ses jambes. Elle avait l'air épuisée lorsqu'il la pénétra à nouveau.

- Es-tu prête pour ma charge ?

- Oui !

- Dis-moi ce dont tu as envie !

- Je veux que tu remplisses ma chatte de ton sperme.

Je n'avais jamais entendu Mathilde parler ainsi. J'étais plus excité que jamais et j'avais du mal à ne pas me toucher.

- Ta chatte est si bonne Mathilde, si serrée. Je vais te remplir et faire mienne ta petite chatte.

Sa respiration s'accéléra. Il gémit bruyamment et fit une dernière poussée, s'effondrant sur le corps de Mathilde. « Ça valait la peine d'attendre » dit-il en l'embrassant. Elle a juste souri.

- Ok mon cocu, il est temps de nettoyer mon travail. Agenouille-toi.

Je me suis agenouillé devant Mathilde. Les lèvres de sa chatte étaient enflées et rouges. Son sperme coulait à l'entrée. J'ai commencé à lécher sa chatte. Plus je léchais, plus le sperme sortait. J'avais l'impression que ça ne finirait jamais. Mathilde appréciait l'attention. Cela devait être agréable d'être doucement léchée après avoir été pilonnée si fort.

- C'est bien, je pense que tu as tout compris. Il a regardé Mathilde et ajouté : Devrions-nous le laisser jouir ? 

- Je pense que oui, il a été un si bon garçon.

- Ok cocu, je veux que tu enlèves ta culotte et que tu jouisses dedans. Tu as deux minutes.

Je savais que ça ne prendrait pas si longtemps. 30 secondes plus tard, j'ai relâché la pression dans la culotte de Mathilde. Ma charge a peut-être rivalisé avec la sienne, tellement j'étais excité.

Avant de partir, il m'a annoncé qu'il reviendrait dans quelques semaines et il m'a demandé de prendre soin d'elle. Ce que j'aurais fait quoi qu'il arrive?