Connexion Inscription
Accueil Blog candauliste Candaulisme : « Rien ne rend une femme plus belle que lorsqu'elle en a conscience »

Le blog de de la rencontre candauliste

illustration

Candaulisme : « Rien ne rend une femme plus belle que lorsqu'elle en a conscience »

Poster un commentaire

Ma femme Laura est sans aucun doute la femme la plus mignonne et la plus sexy que j'aie jamais connue. Ses yeux vert-gris, ses lèvres pulpeuses et son sourire étincelant captivent l'attention autour d'elle. Ses longues jambes, son corps élancé et ses seins fermes invitent les regards à l'explorer. Je me considère comme l'homme le plus chanceux du monde. Jusqu'à cet évènement qui a bouleversé notre vie sexuelle, je pensais que je serais le seul homme à profiter d'un tel privilège.

Je suis consultant en banque privée pour une société de gestion de patrimoine très exclusive. Ainsi, lorsqu'un bal caritatif de la haute société a eu lieu, l'associé directeur de mon groupe a réservé deux billets pour Laura et moi, afin que je puisse étendre mon réseau. Il m'a également demandé de « dépenser beaucoup » pour la tenue de Laura, parce que ces choses comptent dans les cercles glamour dans lesquels nous allions entrer.

Laura était bien sûr ravie et n'a pas lésiné sur le budget : au terme de notre journée de shopping, son dressing s'était agrandi d'une robe de cocktail noire, d'un sac à main et d'une paire de chaussures, des articles au prix indécent. J'ai soudainement réalisé que j'aurais besoin de conquérir beaucoup de nouvelles affaires pour maintenir un tel niveau de vie.

Laura a passé tout le samedi à se préparer. Difficile de comprendre pourquoi une femme déjà si belle avait besoin de tant de préparation, mais quand je l'ai vue revenir du spa, les cheveux coiffés au millimètre, parfaitement maquillée, j'ai senti qu'elle débordait de confiance en elle. Rien ne rend une femme plus belle que lorsqu'elle en a conscience.


Candaulisme : « Avec une pincée de jalousie »

Laura ressemblait à un super model. Son parfum éveillait mes sens et gonflait mon désir. Mon seul regret (et le sien aussi, je suppose), était qu'elle n'avait pas de bijoux à la hauteur de l'évènement. Je l'ai complimentée. En guise de réponse elle a fait un sourire ironique et m'a prévenue : « Attention, je pourrais m'habituer à cela et en demander plus encore ! »

Avec ma femme à mon bras, je suis entré fièrement dans l'excitation enivrante du cocktail précédant le bal. Mon patron était là avec sa nouvelle femme, une ex-mannequine ukrainienne pas beaucoup plus âgée que Laura. Heureusement, les filles ont accroché et bavardé pendant que je circulais dans les allées ornées de costards et de robes de cocktails pour une série de présentations avec mon patron.

A notre retour, un couple élégant discutait avec Laura et Irina. Il s'est avéré qu'ils étaient les hôtes de la table sponsorisée où nous allions siéger. L'homme, un promoteur immobilier et magnat du commerce de détail qui connaît un succès énorme, était accompagné de sa femme blonde, bien équilibrée, sûre d'elle-même et dont les yeux bleus électriques étincelaient. La conversation était légère et frivole, l'ambiance chargée de pouvoir, d'argent et de sexe.

L'homme d'affaires concentrait toute son attention sur Laura, tandis que j'étais occupé à converser avec un homme dans lequel je percevais une grande perspective d'affaires. De temps en temps, je jetais un coup d'?il à Laura et constatais avec une pincée de jalousie qu'elle était absorbée par sa conversation avec l'homme d'affaires. Mais comme nous échangions quelques sourires de en temps en temps, je ne me suis pas fait plus d'inquiétude que cela.

Montée du désir : « J'emprunte votre femme pour le dîner »

A l'approche du dîner, l'homme d'affaires posa doucement sa main dans le bas du dos de Laura et la guida dans la salle principale. J'offris courtoisement mon bras à sa compagne. Nous avons dû traverser une mer de costards agitée par des salutations et des bavardages superflus. La femme à mon bras était reconnue par presque tout le monde. L'homme d'affaires conduisit Laura vers le siège à côté de lui qui portait une carte avec un autre nom. Inévitablement celui de sa femme.  

« J'espère que cela ne vous dérange pas que j'emprunte votre femme pour le dîner. » Je ne me sentais pas de dire non, d'autant que Laura m'avait fait un signe de la tête pour me dire qu'elle était d'accord. Et puis j'avais aussi des conversations à poursuivre et des contacts à intensifier. « Nous avons une conversation si délicieuse. Ma pauvre femme a déjà entendu toutes mes histoires et je suis sûr qu'elle apprécierait une pause ! »

Je n'ai pas objecté. Laura m'a lancé un grand sourire. Elle semblait aimer l'attention qu'il lui portait. Sa femme, Gabrielle, me rejoignit de l'autre côté de la table où nous sirotâmes du champagne. J'étais flanqué de Gabrielle et d'une femme brésilienne avec les plus longs doigts que j'aie jamais vus. De toute évidence c'était l'accompagnatrice de mon client potentiel, qui était un promoteur immobilier. Plus d'une demi-heure a dû s'écouler et j'avais été tellement occupé à parler à mes deux belles voisines que je ne prêtais pas vraiment attention à Laura. J'ai fini par me rappeler de ma femme qui était hypnotisée par tout ce que l'homme d'affaires lui racontait. Elle jetait la tête en arrière en riant ou le regardait attentivement avec de grands yeux incrédules.

Au même moment, Gabrielle a posé sa main sur la mienne.

« Tu sais qu'il essaie de la séduire, n'est-ce pas ? » Choqué, je ne croyais pas à son ton neutre et détaché. Pourtant aucun mot ne sortit de ma bouche.

« Et il réussira probablement. Il obtient toujours ce qu'il veut. »

Sur ce elle me serra la main qui se crispait. Ma première réaction a été la colère. Elle sentait que j'étais en train de perdre le contrôle. « Ne te fâche pas. Chaque femme trouverait un homme aussi riche et puissant que lui attirant ».

Je ne pouvais pas croire qu'elle parlait de son mari de cette façon, lui qui portait toute son attention sur ma femme. A ce moment, il attira Laura près de lui et lui chuchota à l'oreille. Un sourire gêné apparut sur son visage, puis après un moment d'hésitation, elle secoua la tête comme pour dire « non ». C'est là qu'elle me regarda.

La suite la semaine prochaine?

4 commentaires

couplice
Le 20 fevrier 2021
La suite aussitôt que possible...!
Répondre
monster34000
Le 21 fevrier 2021
Très sympa, vivement la suite
Répondre
Scorpiondu68
Le 24 fevrier 2021
Ah ben oui oui oui la suite ...
Répondre
candau56
Le 26 fevrier 2021
ca fait une semaine ! on attend la suite !
Répondre

Poster un commentaire

OK
Nous respectons votre vie privée

Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.

Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.