On n'avait jamais parlé de coups et je me demandais si je
devais descendre et y mettre fin. Pour une raison quelconque, je ne l'ai pas
fait, et ce fut un moment extrêmement long et douloureux à supporter
mentalement. Je n'avais aucune idée de ce qui allait se passer, mais il était clair
depuis longtemps que j'avais le pouvoir de dire stop, de tout arrêter et de
laisser s'estomper mon désir profond de voir ma femme coucher avec un autre
homme.
Mais Frank semblait avoir d'autres idées dans lesquelles je
ne semblais pas jouer de rôle. Soudain, après ce qui m'a semblé durer une
éternité, un SMS m'est parvenu : « Vous pouvez maintenant descendre voir
votre femme ».
J'ai sauté du fauteuil et me suis précipité en bas. Tout allait-il
prendre une autre tournure, celle à quoi je m'imaginais au départ ? La
réponse à cette question était non.
Quand je suis entré dans le salon, ma respiration s'est
arrêtée : ma femme était à genoux au milieu de la pièce, les mains liées
derrière le dos. Les chevilles étaient attachées avec du ruban de bondage, tout
comme les cuisses. Elle ne pouvait pas me voir, elle avait les yeux bandés. Frank
lui avait également mis un bâillon.
Son buste était attaché avec une corde noire. Un spectacle choquant, mais aussi très impressionnant tant les liens semblaient avoir été faits par un professionnel. C'était le cas d'ailleurs.Â
J'ai baissé les yeux et je pouvais voir quatre pinces sur
les lèvres de Stefanie. C'était nos propres jouets, mais Stefanie avait toujours
dit être arrivée à sa limite lorsque je voulais les sortir. Elle avait
semble-t-il accepté, toléré un traitement plus dur.
La surprise a été d'autant plus grande lorsque je me suis
approché : j'ai vu clairement que Frank n'avait pas utilisé le fouet qu'une
seule fois. Il y avait des marques sur le dos de Stefanie et son cul était rouge
vif. Je n'aurais jamais pu aller aussi loin avec elle. Stefanie était
complètement en sueur et à bout de souffle, elle haletait. De toute évidence,
elle avait été baisée durement.
En m'approchant un peu plus d'elle, j'ai vu du sperme collé
à son menton qui suintait de sa bouche. Frank était entré en elle. Il avait
également laissé des marques sur ses joues. Il avait l'air lui aussi usé, mais
me paraissait toujours satisfait.
« Votre mari peut vous voir maintenant. » La voix autoritaire
de Frank résonne encore dans ma tête. Stefanie grimaça brièvement, sans montrer
plus de sentiments.
Frank, auquel je n'avais pas vraiment porté attention
jusqu'à cet instant, m'a regardé du coin de l'?il alors que je fixais ma femme
ligotée et épuisée. Le fait que je sois dépassé par la situation semblait
l'amuser. Il m'a poussé hors du chemin et s'est tenu à côté de ma femme. Il était
nu et sa bite se redressait déjà .
« Qu'est-ce qui vous surprend autant ? » me
demanda-t-il d'un ton hautain et moqueur. « Imaginiez-vous un seul instant que
je ferais comme vous, la bonne âme qui supplie pendant des semaines pour voir
un bout de chair ? » Sur ces mots Frank éclata de rire.
Je me tenais devant lui et ma femme à genoux à côté de lui
comme paralysé et ne pouvais pas émettre un son. Frank n'a pas non plus donné
l'impression qu'il s'attendait à une réponse ou que ce que j'aurais à lui dire
l'intéressait. Il a juste continué à parler.
« Vous ne m'avez probablement pas vraiment écouté : je fais
et exécute les règles. J'obtiendrai ce que je veux et quand je le veux. Il
était clair pour moi que j'allais prendre le cul de cette petite salope quand
je l'ai vue pour la première fois. »
Il attrapa Stefanie fermement à la nuque. « La
petite cochonne a besoin de ça, elle a tendu avec plaisir son cul vers
moi. »
Puis il m'a regardé : « Et vous ne l'avez visiblement
pas baisée correctement jusqu'à présent. »
Il m'humiliait devant ma femme que je regardais ligotée sans
rien faire. Je n'ai pas su réagir aux attaques perfides de Frank et j'ai donc
laissé passer ce commentaire scandaleux.
La respiration de Stefanie s'était un peu calmée, mais elle
haletait toujours. Frank l'attrapa de nouveau par la nuque. Puis il la poussa
en avant jusqu'à ce que son front touche le sol. Stefanie n'a pas résisté. Au
lieu de cela, elle a levé le cul vers le plafond.
Frank a tourné la tête dans ma direction et a enlevé le
bandeau. « Maintenant, vous pouvez regarder profondément dans les yeux de
votre pieux mari alors qu'il regarde sa femme se faire enculer. »
Puis il a posé un pied sur les fesses levées de ma femme et
a mis ses mains sur ses hanches. La pose rappelle celle d'un chasseur qui se
laisse photographier avec son trophée.
La suite la semaine prochaine.
Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.
Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.
3 commentaires
Poster un commentaire