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Aveux d'adultère : J'avais découvert sa liaison et avait trouvé un moyen d'en retirer du plaisir

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Ceci n'est pas mon histoire mais celle de ma femme. Je vais donc simplement essayer de vous retranscrire ce que, une nuit, elle m'a confié ou avoué, à vous de choisir. Même si je n’ai pas exactement les mots qu’elle avait choisis cette nuit-là, ceci se rapproche de ce qu’elle m’a dit. Et je préfère vous dire déjà que tout cela ne m’a pas choqué. Je m’y étais préparé, car j’avais découvert sa liaison et avait trouvé un moyen d’en retirer du plaisir.

« Je dois te dire quelque chose. Et je te demande de m'écouter jusqu'à la fin, sans m'interrompre.

(Ce que j’ai fait.)

Je t'aime, toi et seulement toi. C'est important pour moi que tu le saches.

Hugo, mon supérieur hiérarchique, tu le connais, tu sais quel charmeur il est. Un peu lourdingue par moment. Même depuis qu’il s’est marié il y a un an, il reste un gars porté sur le cul. Un jour j'avais mis par inadvertance un document que je pensais insignifiant dans sa corbeille à papier. Il m'a appelée lorsqu’il s’en est rendu compte, il était énervé : regarde-moi ça !

Il s’agissait d’une note de frais. La note était posée sur le devant de son bureau. Je me suis penchée dessus et j'ai commencé à lire alors qu'il faisait le tour de bureau pour venir derrière moi. J’étais gênée même si je pensais en moi que ce n’était pas si grave. Il se mit derrière moi alors que je me penchais sur son bureau.

Relis-le, dit-il extrêmement fort. J’ai exécuté son ordre et il s'est encore rapproché de moi, de sorte qu'il a touché mes fesses avec son bassin. C'était le début de ses petites « attentions ».

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Aveux d’adultère : « Il m'a pressée fermement avec le bas de son corps contre le bureau »

Des incidents similaires se reproduisirent au cours des semaines suivantes. Il me complimentait encore et encore sur mes vêtements, mon apparence ou ma coiffure. Tu le connais, le charmeur. Difficile d’être en colère contre lui.

Finalement, dans une situation similaire, il attrapa mes fesses avec les deux mains. Je voulais me retourner et le repousser. Il l'avait deviné et a donc attrapé ma main pour me tirer vers lui. Il me dit de le suivre au bureau et me mit dans la même position abaissée qu'il l’avait fait quelques semaines auparavant. Il s'approcha encore plus de moi et commença à se frotter contre mes fesses. Puis il se pencha derrière moi et chercha mes seins avec ses mains. Il m'a pressée fermement avec le bas de son corps contre le bureau et le haut de son corps était contre mon dos. Je ne pouvais pas bouger ni me débattre.

Si je te dis cela maintenant c’est que cette situation m'a excitée. Tu vas penser que je suis folle. Mais c'était comme ça. Je ne sais pas pourquoi. Je l'avoue, j'ai commencé à en profiter. D’autres auraient démissionné ou l’auraient trainé devant les tribunaux. Mais moi je me sentais bien dans cette position de femme soumise.

Tu sais que de temps en temps je dois l’accompagner à des rendez-vous d’affaires qui se déroulent à l’étranger et durent parfois un jour ou deux. C'est comme ça dans mon travail de secrétaire en chef. Un soir, après un repas avec des partenaires d’affaires, nous nous sommes assis confortablement au bar de l’hôtel. Et tu l'as maintenant deviné, il m'a entraînée dans sa chambre d'hôtel. En un rien de temps, nous nous sommes déshabillés jusqu'à ce que nous soyons nus.

Dis-le-moi si tu veux que j’arrête de raconter…

(J’ai dit non, vas-y, continue, ça m’intéresse. Ne m’épargne aucun détail.)

Aveux d’adultère : « Baisée sans relâche ni pitié pendant toute la fin de la nuit »

Je ne sais pas si la pièce était surchauffée ou si c’était moi. Sans prévenir, il me pressa des deux mains sur mes fesses. Je sentais sa queue raide et saillante sur mon ventre. Il me repoussa vivement et nous tombâmes tous deux au lit. C'était la première fois qu'il me voyait nue.

Il vaut mieux que je t’épargne les détails. Je ne veux pas t’offenser. Le lendemain matin, il m'a dit bonjour ma douce à la façon d’un macho. Lui, le riche de bonne maison, moi la secrétaire.

Depuis lors, je suis sa partenaire de jeu. Nous avons toujours eu la possibilité de le faire ensemble. De temps en temps, il me dit : « Rentre chez toi et demande à ton mari de te lécher. »

Un soir où tu ne dormais pas encore, tu m’as dit « tu sens le sexe ». Je venais juste d’être baisée et ensuite tu es entré dans le même trou que lui.

Pourquoi je te dis ça ? Sa femme passe deux semaines en Ardèche chez sa sœur et lui désir que je l’accompagne en vacances dans sa maison de vacances en bordure d’océan.

Maintenant tu le sais. Je ne veux plus mentir. Tu peux me chasser de la maison ou me baiser ici et maintenant. Je peux voir le renflement dans ton pantalon, ça t’excite d'entendre qu’un autre gars m’a baisée ? »

Je lui ai sauté dessus et l’ai baisée sans relâche ni pitié pendant toute la fin de la nuit.

 

2 commentaires

CandauCple
Le 23 mars 2019
Très belle confiance de couple !
Répondre
lilouetjp
Le 14 avril 2019
Excitant, et maintenant quel relation avez vous ?
Répondre

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