Le blog de de la rencontre candauliste

Quand nous sommes arrivés dans la chambre, Naël a dit : « Allons-y. Allonge-toi sur le lit et retire le haut de ton maillot de bain si cela ne te dérange pas. » Il avait fini sa phrase en me regardant, comme pour tester la température. Il avait compris que ce n’était pas moi qu’il fallait convaincre.

Ma femme s’est allongée sur le lit. Elle a baissé son paréo jusqu’à la taille et on pouvait apercevoir le début de ses fesses. Elle a ensuite retiré son maillot de bain de telle sorte qu’on ne puisse qu’entrapercevoir sa poitrine. Après quoi elle a placé sa tête de côté et a fermé les yeux. 

Naël s’est assis sur le lit, s’est penché et a commencé à lui frotter doucement les épaules avec les paumes pour les chauffer et les détendre. Ma femme semblait un peu crispée. En même temps, elle s’était fait mal au cou. Elle le guidait un peu en lui disant qu’il s’y prenait vraiment bien. Il a continué de la masser pendant un moment et n'a rien fait pour l’offenser. Au bout de quelques minutes, alors qu'elle était complètement détendue, il a commencé à travailler ses latéraux. De là où j’étais assis, je pouvais voir les côtés de ses seins. Les mains de Naël s’en rapprochaient par moments. Je retenais mon souffle, à chaque fois qu’il frôlait les seins de ma femme. J’avais le sentiment qu’il se retenait de les lui toucher.

Aventure candauliste avec un inconnu : « Pas grand-chose pour que la situation s’emballe »

Puis ma femme s’est légèrement inclinée d'un côté exposant une partie de sa poitrine qui me faisait face. Naël m’a lancé un regard et j’ai fait oui de la tête en souriant. Il a frôlé délicatement le sein de ma femme qui prit une profonde inspiration au même moment. Il lui a caressé la poitrine pendant quelques secondes, tout au plus, sans que cela ne paraisse être un acte prémédité. La respiration de ma femme est devenue plus en plus rapide, de plus en plus intense. Puis il est retourné à son cou et à ses épaules, comme si rien ne s'était passé. La tension était cependant montée d’un cran. Il ne manquait pas grand-chose pour que la situation s’emballe.

Naël a demandé à ma femme si elle se sentait mieux. Elle a soufflé un oui qui en disait long sur son état de détente. J’ai alors dit : « je peux vous laisser tranquille si vous voulez ». Je suis parti dans la salle de bain sans attendre de réponse et je me suis mis à regarder par le trou de la serrure pour épier leurs faits et gestes.

De là où j’étais je pouvais voir ma femme jusqu’aux cuisses. Juste après mon départ dans la salle de bain, Naël s’est rapproché d’elle et lui a dit quelque chose à l’oreille que je n’ai pas pu entendre.

Ma femme a légèrement soulevé ses hanches et a retiré le bas de son maillot de bain. Elle semblait avoir compris et accepté le jeu qui s’était mis en place. J’étais terriblement excité, d’autant que je ne savais pas jusqu’où les deux iraient.

La vue de ma femme nue sur le lit en train de se faire masser par un inconnu m’a donné une érection. Leur posture était érotique au possible.

Aventure candauliste avec un inconnu : « Son doigt venait de glisser à l'intérieur »

Naël s’est mis alors à lui masser les cuisses, se rapprochant de plus en plus de sa fleur. Je n’attendais que le moment où il glisserait sa main entre les jambes de ma femme, ce moment où elle lâcherait un gémissement de plaisir. Quelques instants plus tard, il a passé sa main sur ses fesses. Ma femme n'a pas bougé. Je pressentais qu'il frottait sa fleur. Et puis un gémissement est sorti de la gorge de ma femme. Son doigt venait de glisser à l'intérieur. Je ne voyais pas très bien la scène mais je pouvais parfaitement me l’imaginer. Je voyais sa main bouger et j’entendais ma femme respirer très fort. Il l'a fait plusieurs fois sans que ma femme ne proteste.

Dans la foulée, Naël a enlevé son short de bain. Ma femme s’en était rendu compte mais n’a rien dit sur le coup. C’est uniquement quand il s’est approché d’elle qu’elle a dit : « non, non, non. Mon mari… On s’arrête-là. » 

Il a dit « je comprends » et il s’est rhabillé en express. J’étais dégoûté derrière la porte. J’avais une gaule d’enfer et ne pouvait pas l’obliger à faire quelque chose dont elle n’avait pas envie. J’ai ouvert la porte et j’ai croisé le regard de Naël qui partait. Il m’a fait un clin d’œil et est reparti comme si de rien n’était.

Ma femme s’est excusée à maintes reprises dans les minutes qui ont suivi.

« Je ne sais pas ce qui m’a pris de le laisser aller si loin. Je suis désolée… il m’a touchée et je n’ai rien fait contre. »

Je lui ai dit que ce n’était pas grave. Au contraire, cela m’avait excité et j’aurais aimé qu’ils aillent plus loin. Mais je respectais sa décision.

Elle m’a dit ensuite qu’elle n’était pas encore prête mais qu’elle le serait certainement un jour…

J’attends encore…