Le blog de de la rencontre candauliste

Je suis entré dans la chambre pour apporter le verre d'eau à ma femme qui avait déjà trouvé le sommeil. Dans un soupir de déception j'ai tiré la couverture puis me suis glissé à ses côtés. La literie était humide. Un peu désabusé, j'ai commencé à me masturber. Comme je me sentais ridicule, je me suis arrêté et essayé de m'endormir malgré une érection interminable.

Le lendemain matin, je me suis fait réveiller par le lit qui tremblait. J'ai regardé autour de moi, rassemblant mes sens et mes esprits après une nuit agitée par l'alcool et la frustration.

Noémie était allongée à côté de moi, les cheveux ébouriffés, les jambes en l'air avec Thibault sur elle. Elle gémissait en silence comme si elle ne voulait pas me réveiller.

Thibault remarqua mon réveil et ralentit le rythme. « Désolé mec. Je ne voulais pas te réveiller » dit-il en continuant de baiser ma femme. Il m'a fallu une seconde pour réaliser ce qui se passait. Il montait ma femme à côté de moi pendant mon sommeil.

« Continue, il en rêvait, » répondit Noémie à ma place.

Thibault reprit son rythme soutenu et vigoureux. Il semblait être sur le point de jouir. Ses coups de rein s'intensifiaient, sa respiration devint lourde.

« Finis dans ma bouche », lui dit Noémie. J'étais choqué. Elle ne m'avait jamais demandé de faire ça.

Expérience candauliste : « Un énorme nuage de sperme jaillit de sa bite »

Il obéit et se déplaça à côté de sa tête, son sexe était suspendu sur son visage. Elle l'attrapa et le pompa furieusement.  Elle ouvrit la bouche au moment où un énorme nuage de sperme jaillit. Elle s'est rapidement ajustée pour obtenir le deuxième éclat directement dans sa bouche, puis a serré ses lèvres sur le gland depuis lequel coulaient les dernières gouttes.

Soudain elle se tourna vers moi et m'attrapa l'arrière de la tête. Elle tira fermement mes cheveux puis m'embrassa profondément, forçant sa langue entre mes lèvres et crachant le sperme dans ma bouche. Je ne savais pas quoi faire. C'était chaud, salé et épais. Elle me regarda dans les yeux, intensément.

« Avale maintenant », dit-elle. Comme hypnotisé par son regard, j'ai avalé d'une traite en fermant les yeux de dégoût. Le goût persistait dans ma bouche. J'avais désespérément besoin de soulagement mais l'humiliation que je ressentais était déroutante. J'ai commencé à me caresser quand Noémie m'a arrêté en posant sa main douce sur la mienne.

« Pas maintenant, chérie. Que dirais-tu d'aller nous chercher un café ? »

Je ne savais pas quoi faire d'autre que d'exécuter les ordres de Noémie qui ressemblait à tout sauf à la femme que je connaissais.

Thibault finit de s'habiller et s'en alla, après lui avoir donné un baiser d'adieu. J'ai ressenti une pointe de jalousie quand ils se sont embrassés. J'étais toujours excité, mais je me demandais soudain si tout cela n'était pas une erreur.

« Chérie, à propos de?»

Elle me coupa la parole. « Je ne veux pas en parler maintenant. Nous parlerons de tout cela plus tard. »

Je me suis tu devant son ton sec.  Je ne savais pas pourquoi je me sentais si faible. J'avais besoin d'un peu de recul et de respirer, alors je suis allé prendre une douche.

J'ai passé le reste de la matinée et le début de l'après-midi à essayer de me détendre en lisant, mais je ne pouvais pas me concentrer. Mon esprit et mon c?ur battaient toujours la chamade, j'étais inondé d'images du matin et de la veille. Nous n'avions toujours pas parlé.

Vers trois heures, on a frappé à la porte.

Noémie me demanda d'aller ouvrir : « Je suis toujours en train de me préparer. »

Je rangeai mon livre et me dirigeai vers la porte, totalement mal à l'aise. Je n'étais pas sûr de pouvoir supporter plus d'humiliation.

Derrière Thibault, il y avait deux gars et une fille. Il me lança un sourire qui me parut arrogant et condescendant. Il avait franchi la porte, avant que j'aie la chance de l'inviter à entrer.

La suite la semaine prochaine.v