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Amant pour couple candauliste (partie 3) : « Dans sa femme qui se tortillait telle une danseuse »

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J'écartai donc largement les jambes de Jenni avant de glisser ma langue entre ses lèvres soyeuses. Je fis signe à Romain de se rapprocher pour mieux voir. C'était sans aucun doute le moment dont il fantasmait. Sa femme était allongée, les jambes écartées et la chatte dégoulinante, encline à accueillir le sexe d’un autre homme, mon sexe.

Ma bite était dure comme de l'acier et prête à prendre d'assaut les portes de son jardin secret. Je tenais ma position et écartais petit à petit de mes doigts ses lèvres pour qu’il puisse mieux apprécier le spectacle et qu’il se prépare à me voir enfoncer sa femme. Lentement, j'ai glissé mon sexe dans sa femme qui se tortillait telle une danseuse. J’étais pleinement investi dans mon rôle, je savais qu’il ne s’agissait pas uniquement de procurer du plaisir à une femme qui ne demandait que cela ; il était aussi question qu'il puisse savourer chaque instant, qu’il puisse voir chaque centimètre de mon acier brûlant qui disparaissait dans sa femme toute aussi brûlante.

Ce n’est pas pour me vanter, mais Jenni a joui à de multiples reprises au cours de l’heure durant laquelle j’ai pris soin d’elle. Romain en était fasciné. J’entendais son excitation à chaque bruit émis par sa douce épouse. Quelques heures plus tard j'ai appris qu'elle n'était pas habituée à jouir pendant les pénétrations. Elle y parvenait surtout oralement. Clitoridienne, qu’elle disait.

Pendant notre heure de sexe, Romain avait pris soin de tout saisir avec le caméscope. Un vrai cinéaste : il s’était déplacé dans la pièce pour nous prendre sous tous les angles, sans en oublier de frotter sa queue dans son pantalon pendant que je baisais sa femme.

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Bull au service d’un couple candauliste : « Comparable à des chutes d’eau »

Il m’a fallu être fort pour ne pas succomber à la première montée orgasmique venue : j’ai lutté plusieurs fois pour que leur plaisir dur, d’où ce resserrement et cette pression qui ont fini par se transformer en explosion de plaisir. Ce n’est que lorsque que Romain a mentionné que la batterie de son caméscope était sur le point de mourir que j’ai pris la décision de ne plus me retenir. C'était l'heure pour moi de jouir.

J’ai alors mis sa femme sur les genoux pour la baiser profondément par derrière. Avec son visage pressé contre le coussin, elle regardait Romain qui ne semblait plus savoir où donner de la tête. Leur enchantement m’a ému. Je l'ai alors baisée plus fort et de dire :

« Ton homme est sur le point de voir un autre homme jouir dans ta chatte… » Elle haleta : « Lâche-toi, lâche tout ce que tu as dans ma chatte ! Je veux que tu jouisses dans ma chatte ! »

Sur ses paroles j’ai éclaté comme un volcan, crachant ma profonde lave chaude et crémeuse au fond d’elle. De ma gorge est sorti un grognement ardent qui accompagnait cette délivrance. Le fait de me retenir tant de temps a ajouté au plaisir. J’ai inondé Jenni dont la chatte était comparable à des chutes d’eau.

Candaulisme : « Une sorte de reconnaissance de mon statut de mâle Alpha »

Je me suis effondré sur elle pendant un moment alors que nous tâchions tous les trois de retrouver le souffle. Dans un moment de douceur et de tendresse que l’on pourrait aussi qualifier de maladroit, je l’ai caressée puis embrassée comme si Jenni était mienne. Elle n’était pourtant pas mon amour. Nous avons eu un contact visuel puissant qui n’a pas ému Romain autant que je l’ai craint sur le moment. Il avait en effet d'autres projets en tête.

Romain s’est allongé sous Jenni et a enfoui son visage et sa langue dans sa chatte remplie de sperme. Elle m'a regardé et s'est curieusement excusée. Je me suis demandé pourquoi elle s’excusait. C’est vrai que cela n’était pas prévu mais j'ai trouvé ce moment très chaud à plusieurs niveaux.

C'était déjà fantastique de voir un autre homme me regarder baiser sa femme et la faire jouir. Mais cet acte imprévu a donné un tout autre niveau de surprise à l’expérience. Quelle expérience folle pour une femme d’avoir son mari entre ses jambes en train de déguster la semence d’un autre homme. Cela semblait être le grand final. Il m'avait choisi pour servir sa femme et payé mon dîner. Après réflexion, il semblerait que manger mon sperme dans la chatte de sa femme était l’apothéose, une sorte de reconnaissance de mon statut de mâle Alpha.

Je me suis détendu quelques minutes avant de reprendre la route. L’expérience était terminée pour ce soir mais, à voir la lueur qu’ils avaient tous les deux dans les yeux en me regardant partir, j'avais le sentiment du devoir accompli, mais aussi et surtout que l’on se reverrait. Mon intuition avait été la bonne…

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